Histoire de la Terre Creuse

HISTOIRE DE LA TERRE CREUSE

par

Jean-Marc

Le premier a parler de la terre creuse fut Jules Verne avec son livre de science fiction ( Voyage au centre de la Terre ). Mais l'histoire de la terre creuse est devenu célèbre grace a L'amiral Charles Byrd .Avant d'aller plus loin , il serait bon de connaitre cet homme , alors qui est L'amiral Charles Byrd ?

Byrd naît le 25 Octobre 1888 à Winchester (Virginie), dans une des familles les plus anciennes et plus distinguées de Virginie. En 1904, il entre à l'Académie militaire de Shenandoah et à l'Institut Militaire de Virginie. En 1907, il entre à l'Université de Virginie.

Marine (1912-1919)
Byrd entre à l'Ecole Navale en 1908. Une fois diplômé, il entre dans la Marine US en 1912, où il est affecté en service à bord du USS Kentucky, puis sur le USS Wyoming, où il a un accident qui réouvre une blessure d'athlétisme. Il est réaffecté sur le USS Missouri. En 1914 il est affecté sur le USS Washington lors de l'occupation navale de Vera Cruz (Mexique). Le sauvetage d'un marin à Santo Domingo lui vaut la Médaille de Sauvegarde de la Vie du Congrès. Il fait son 1er vol dans un avion. Il est affecté au USS Dolphin, le yacht du Secrétaire à la Marine. En 1915 il se marie, et est affecté au yacht présidentiel Mayflower.

Byrd quitte la marine et le service actif en 1916, nommé administrateur de la milice navale de l'état du Rhode Island. Il est nommé en tant qu'officier à la retraite en service actif au Bureau du Personnel Naval à Washington (D.C.) et sert comme Secrétaire de la Commission sur le Campus d'Entraînement.

Byrd est particulièrement intéressé par la nouvelle technologie des avions et est cadet de l'aviation navale de 1916 à 1917, à Pensacola. En Juillet, il reçoit ses ailes de pilote et devient superintendant adjoint à Pensacola avec la responsabilité d'enquêter sur les crashes d'appareils. A la fin de la 1ère guerre mondiale, sa passion pour l'aviation toujours présente aide à la planification et la navigation pour l'équipage de la Marine US qui traverse l'Atlantique en avion en 1919.

Pôle Nord (1926-1928)
Après avoir commandé les pilotes de la Marine US assistant l'expédition de Donald MacMillan dans le Groenland en 1925, Byrd lève des fonds pour sa propre expedition visant à voler au-dessus du Pôle Nord en 1926, ce à quoi il parvient le 9 Mai. En signe de reconnaissance, le Congrès américain lui décerne la Médaille d'Honneur et le promeût commandant. Il défile en parada à New York. Byrd considère avec fierté mais aussi parfois exaspération, ce qu'il appelle "le business des héros". Peu après, en 1927, il dirige une équipe volant au-dessus de l'Océan Atlantique, étant ainsi le 3ème depuis Charles Lindbergh cette année-là.

Pôle Sud (1928)
C'est l'Antarctique, cependant, qui va faire la véritable carrière de Byrd. Il dirige ou participe à 5 expéditions en Antarctique, à partir de de 1928. Il fait son 1er vol au-dessus du Pôle Sud le 29 Novembre 1929, et en 1930, au retour de cette 1ère expédition, il est à nouveau acclamé dans les rues de New York.

Il fait une 2nde expédition au pôle Sud est en 1935, puis une 3ème de 1939 à 1941, année où les Etats-Unis entrent dans la 2nde guerre mondiale.

Byrd va être nommé adjoint spécial du directeur des opérations navales, l'amiral Ernest J. King, et devenir un ami proche et personnel du président Roosevelt. Entre 1941 et 1945, il se rend sur les fronts de la guerre en Europe, en Alaska et dans le Pacifique Nord. Mais le fougueux amiral de la vague Antarctique de 1930 ne commande jamais le moindre navire de combat durant la guerre.

Highjump (1946)
PrémissesAvec la fin de la guerre, la marine découvre tout à coup qu'elle a besoin de Byrd. Sa réputation a florit durant la guerre. Si elle ne veut pas être déchargée de son rôle, en particulier celui de l'aviation navale, un plan doit être rapidement élaboré pour mettre en évidence sa valeur.

Pas une personne n'est plus responsable de l'Opération Highjump que Byrd. D'après Paul Siple, c'est Byrd qui persuade le Secrétaire de la Navy James Forrestal et le Directeur des Opérations Navales Chester Nimitz de lancer une énorme expédition navale en Antarctique. En parallèle, l'obsession de Forrestal pour la menace soviétique trouve une sympathie et un support grandissants au Capitol. Un autre allié proche est le frère de Byrd, le sénateur Harry Flood Byrd, alors chef de la puissance machine familiale qui a soutenu le parti Démocrate en Virginie. Harry est une figure-clé des Démocrates du "Sud Solide" des années 1930s et 1940s. Harry possède une grande influence sur la chambre des députés et de nombreux présidents, en particulier les nouveaux présidents à la popularité vascillante, le suivent. Comme on peut s'y attendre, Harry suit Richard quoi que veuille Richard et en 1946, Richard veut retourner en Antarctique.

De 1946 à 1947, Byrd est donc responsable du programme connu sous le nom de Opération High Jump, qui aurait vu pour la première fois 25 % (3,9 millions de km carrés ou 1,5 millions de miles carrés) du territoire Antarctique.

Ce fut le vol de l'une des sorties exploratoires qui causèrent peu de sensations. Le 11 Février 1947, une zone rocailleuse et sans neige de 260 km carrés (100 miles carrés), parsemée de lacs est découverte dans les Collines Bunger, près de la croûte glacière de Shackleton. Un communiqué de presse de la Marine US la décrit comme un 'Shangri-La' et, par erreur, comme comprenant de la végétation.

Les plus fameuses expéditions polaires de Byrd furent d'abord dépeintes dans la controverse sur la Terre creuse lorsque de nombreux articles et libres - notamment Les mondes au-delà des Pôles de Amadeo Giannini et La Terre creuse par le docteur Raymond Bernard - déclarant que Byrd aurait en fait volé, non pas au-dessus des pôles Nord et Sud, mais à l'intérieur des grandes cavités qui mènent à l'intérieur de la Terre. Ray Palmer, citant intégralement le livre de Giannini (comme le fit le docteur Bernard), introduisit cette théorie dans le numéro de Flying Saucers de Décembre 1959, et par la suite mena une correspondance volumineuse sur le sujet.

D'après Giannini, Bernard et Palmer, Byrd annonça en Février 1947, avant un vol supposé à 2750 km (1700 miles) au-delà du Pôle Nord : J'aimerai voir cette terre au-delà du pôle. Cette région au-delà du Pôle est le centre du Grand Inconnu. Giannini, Bernard et Palmer déclarent également que, lors du vol supposé de Byrd au-dessus du Pôle Nord en Février 1947, celui-ci rapporta par radio qu'il vit en-dessous de lui non pas de la glace et de la neige, mais des zones de terre constituées de montagnes, forêts, végétation verdoyante, lacs et rivers et, dans la broussaille, un animal étrange qui ressemblait à un mammouth.

En fait, il est peu probable que Byrd ait volé au-dessus du Pôle Nord en Février 1947, occupé qu'il était par son opération High Jump en Antarctique.

De plus, d'après Giannini, Bernard et Palmer, en Janvier 1956, après sa dernière expédition en Antarctique, Byrd déclara que son expédition avait pénétré jusqu'à 3700 km (2300 miles) au-delà du Pôle Sud. Ils déclarèrent par la suite qu'avant sa mort en 1957, Byrd avait appelé la terre au-delà du Pole ce continent enchanté dans le sciel, terre du mystère sans fin. Cette terre, d'après d'autres théoricien de la Terre creuse, était en fait la Cité d'Arc-en-Ciel légendaire, berceau d'une fabuleuse civilisation disparue.

Pour les défenseurs de la théorie de la Terre creuse, ces commentaires confirment pratiquement ce qu'ils avaient supposé tout du long : que la Terre est formée "bizarrement" aux pôles, quelque chose comme un beignet, avec une dépression qui, soit descend à une énorme distance dans les entrailles de la Terre, soit forme un trou géant passant juste à travers le coeur de la Terre, d'un pôle à l'autre. Comme, géographiquement parlant, il serait possible de voler 2750 km (1700 miles) au-delà du Pôle Nord ou 3700 km (2300 miles) au-delà du Pôle Sud sans voir d'eau, il paraît censé — du moins selon la logique de la Terre creuse — que Byrd doit avoir volé vers le bas dans les énormes dépressions convexes aux pôlesn et donc dans le Grand Inconnu de l'intérieur de la Terre. S'il avait volé plus loin, ont toujours déclaré les adeptes de la Terre creuse, il serait au final arrivé à une base ovni secrète appartenant à la "super-race cachée", les habitants de la légendaire Cité Arc-en-Ciel que Byrd a peut-être pu voir se réfléchir dans le ciel de l'Antarctique.

Deep freeze (1955-1956)
En 1955 Byrd prépare sa 5ème expédition en Antarctique, l'opération Deep Freeze (I et II)
Le 21 Février il reçoit la Médaille de la Liberté. Il décède quelques jours plus tard, le 11 Mars 1957. A cette époque, il était si associé à l'exploration et l'investigation scientifique de l'Antarctique que certains le qualifiaient de maire de l'Antarctique.

Alors nous voyons un homme sérieux a qui on donne de très grandes responsabilités , il est aussi un ami du président des USAs du temps .Alors peut on penser que cet homme a pu inventer une histoire aussi incroyable , moi je ne le crois pas.

19 Février 1947, l'amiral Richard E. Byrd a laissé le camp de base Artique et a volé au nord.

Que s'est produit sur ce vol ?
Pendant des années où les rumeurs ont persistées cela sur son vol historique au Pôle du nord, l'amiral Byrd a volé au delà du Pôle dans une ouverture menant à l'intérieur de la terre. Le voici qui a rencontré les heings avançés qui ont eu un message sobre qu'il faut qu'il livre à l'humanité du monde extérieur.
Sur le retour de Byrd vers Washington, mars 11, 1947 il a été interviewé attentivement par des forces supérieures de sécurité et une équipe médicale. Il a été placé sous un contrôle stricte et on lui a commandé de rester silencieux au nom de l'humanité. Étant un homme militaire, il a senti qu'il devait se conformer à cette demande.
Ici, de la notation et du journal intime secrets de l'amiral Byrd, est le message censé avoir été entendu il y a 45 ans !

Extrait de la terre creuse (no ISBN) :

" pendant son vol arctique de 1.700 milles [2720 km] AU DELÀ du Pôle Nord il a rapporté par la radio qu'il a vu au-dessous de lui, pas de la glace et de la neige, mais des secteurs de terre se composant de montagnes, de forêts, de végétation verte, de lacs et de fleuves, et dans l'underbrush {la brousse}il a vu un animal étrange ressemblant à un gigantesque mammoth.... "

Il ne faut pas oublier qu'on a trouver dans le grand nord des mammoths en parfait état de conservation , un mammoth avait même encore de la végétation dans la bouche .
" en janvier, 1956, amiral Byrd a mené une autre expédition en ANTARCTIQUE et là il a pénétré 2.300 milles [3600 km] AU DELÀ du Pôle Sud. L'annonce par radio à cette époque (janvier 13, 1956) a indiqué : "le 13 janvier , des membres en expédition des États Unis ont pénétré à l'intérieur de la terre de 2.300 milles [3600 km] AU DELÀ du Pôle. Le vol a été fait par Rear Amiral George Dufek de l'unité d'air de marine des États-Unis. " Byrd dit le 13 mars 1956 : " l'expédition a ouvert une nouvelle terre très vaste . "
L'Amiral Byrd a dit en février, 1947 avant son vol au Pôle Nord, " je voudrais voir cette terre au delà du Pôle. Ce secteur au delà du Pôle est le centre d'un grand inconnu. "

Mais a t'on des preuves d'une aussi grande ouverture dans le pôle ?

De nombreux documents photos ramenés par les astronautes américains des missions Apollo successives, sont aujourd'hui classifiés Top Secret. Or, ces documents ne concernent pas uniquement la Lune. Certains concernent les pôles de la Terre. Voici par exemple une photo prise par l'équipage d'Apollo XI en juillet 1969, et qui est miraculeusement passée au travers des mailles des filets de la censure de l'administration américaine.

 

 

Cette photo en apparence « anodine », révèle cependant la présence d'un trou noir à proximité du pôle nord. Ce trou noir semble absorber les nuages vers l'intérieur de la Terre.

Les calculs effectués à partir de l'échelle de la photo aboutissent grosso modo à un diamètre du trou d'environ 900 à 950 Km, soit une circonférence de 2900 à 3000 mètres. Si ce trou correspondait à une ouverture dans la calotte polaire, elle serait située à environ 86° de latitude Nord. Or on sait que des rapports d'explorateurs, dont les conclusions sont restées secrètes (celles de l'Amiral Byrd notamment) mentionnaient un trou de 716 Km, pour une circonférence de 2250 Km, et une ouverture dans la calotte polaire à partir de 86,8° de latitude Nord. Cette photo semble donc confirmer à peu de chose près les conclusions du livre de R. Bernard, ''the hollow Earth'' paru bien avant la première mission Apollo.
Par ailleurs, en regardant ce trou de plus près, on constate une dénivellation dans la hauteur des nuages visibles sur son pourtour. Le dénivelé correspond environ à la moitié du diamètre du trou, soit une épaisseur d'environ 400 km. Or on sait que les plus hautes couches de nuages de l'atmosphère dépassent rarement une altitude de 50 000 pieds {soit 15 km}. Cela signifie que les nuages photographiés à l'intérieur du pourtour du trou sont à environ 385 km en dessous du niveau du sol !!!

Voilà pourquoi cette photo aurait dû faire partie de l'ensemble des documents de la NASA classifiés Top-Secret, car en démontrant l'existence d'un trou béant à l'extrême nord de notre planète, elle contredit toutes les données scientifiques habituellement acceptées par la science officielle. Il s'agit d'un trou tellement immense que l'on arrive même pas à en voir le fond !
Cette photo a été prise au mois de juillet, époque de l'année où il fait jour au Pôle Nord 24 heures sur 24 ; c'est pourquoi le trou dans les nuages est si clair et si visible. Or le fond de ce trou n'est pas blanc, comme devrait le refléter la couche de glace et de neige qui est supposée y rester 365 jours par an. Pourquoi ? simplement parce qu'il n'y en a pas. Et pourquoi n'y en a-t-il pas ? parce que ce trou communique avec le centre de la Terre qui est une région au climat tempéré et agréable en toutes saisons !

 

Avons-nous d'autre preuves ?

Il y a un autre phénomène qui a surpris plus d'un explorateur : subitement, à certains endroits, la neige était colorée, rouge, noire, verte ou jaune. On a pris des échantillons et on a découvert que le noir était dû à des cendres volcaniques, les autres couleurs étaient dues à du pollen de fleurs. Du pollen au pôle Nord ? Personne ne s'étonnait plus de savoir que ce pollen venait de fleurs que personne ne connaissait. D'où venaient les centaines de troncs d'arbres que le commandant Robert McClure avait trouvé sur la Terre de Bank ? McClure était le premier homme blanc à découvrir le passage nord-ouest dans toute sa longueur. Et là où plus rien ne pousse, là où la neige et la glace sont reines, il voit du bois flottant qui se dirige sur lui. Les troncs d'arbres semblaient avoir été charriés par les glaciers venant du nord. Des arbres encore plus au nord ? Nansen a vu du bois flottant à 86° de latitude nord, à 4° du pôle. Est-ce que les arbres tombent du ciel, comme la neige ?Sans doute pas.
Mais qui peut dire d'où viennent les icebergs ? Ils ne viennent pas de la mer, car l'eau de mer est salée, et les icebergs ne contiennent que de l'eau douce, sans exception. La pluie ? "Comment cinq centimètres de précipitation annuelle peuvent-ils créer de tels monstres de glace, comme nous les trouvons dans l'océan Arctique ?", se demande le chercheur Bernacchi, qui a exploré le pôle Sud avec Borchgrevink, de 1898 à 1900. Il n'y a pas de réponse rationnelle à cette question. Il a vu un iceberg de 80 kilomètres de large sur 650 kilomètres (!) de long, un iceberg qui va de Paris à Toulouse, qui s'est formé à la suite de cinq centimètres de précipitations annuelles ? Si on part du fait qu'il existe bien un pôle Nord et qu'il est recouvert de glace, comme tout le monde semble le supposer, d'innombrables explorateurs ont dû être pris d'hallucinations à partir de 80° de latitude nord. Ou alors, ils étaient en pleine possession de leurs moyens, et la théorie du pôle couvert de glace ne tient plus. Tous ceux qui vivent dans le grand Nord ont pu constater qu'il y a beaucoup de brouillard dans l'Arctique en hiver. Si la banquise avait été entièrement solide, il n'y aurait pas assez d'humidité dans l'air pour la formation de brumes et de brouillards. L'explorateur américain Dr. E. Kane, qui a découvert le glacier de Humboldt et qui a exploré la zone du pôle Nord entre 1833 et 1855, a écrit ceci il y 150 ans "Il y a des indices qui montrent clairement qu'il doit y avoir un océan dans le nord, les brumes et les brouillards que nous avons vus souvent en hiver nous le confirment." "

Que dire de plus, si ce n'est que seule la présence de volcans et zones couvertes de végétation à l'intérieur de la déclivité polaire, peuvent expliquer ces phénomènes. De même, seule la sortie d'un ou plusieurs fleuves par cette ouverture, peut être à l'origine de ces icebergs fait d'eau douce. Il y a de plus ce soleil rougeoyant qu'ont vu, les Jansen et Nansen, qui se sont approchés du bord l'ouverture polaire et qui correspond au soleil intérieur décrit plus au haut et qui de plus nous dit-on, est à l'origine du phénomène des aurores boréales

Mais revenons aux Mammouths ?

Mais il y a de plus, cette affaire de mammouths, que l'on retrouve, de temps en temps, dans les terres glacées sibériennes, comme récemment le fameux Jarkov découvert intact en 1997 (posé de plus parait-il sur un tapis d'herbes) dans le permafrost de la toundra Sibérienne.

Autre exemple: Dans son ouvrage publié chez A. Michel en Mai 1970, intitulé " Terre énigmatique" l'écrivain Peter Kolosimo nous relate page 19 :


" Le mystère s' épaissit en 1901, quand on découvrit, au bord de la rivière Berescovka, une carcasse complète de mammouth. L'animal paraissait mort de froid en plein été. Le contenu de son estomac, était si bien conservé qu'il fut facile d'identifier les herbes qu'il avait absorbées: des boutons d'or, des haricots sauvages en pleine floraison, c'est-à-dire dans l'état où cette plante se trouve en fin Juillet ou début Août. La mort avait été subite: Dans la gueule de l'animal, il y avait encore des brins d'herbe et des fleurs. Sans aucun doute, il avait été surpris par une force prodigieuse, brusquement déchaînée qui l'avait transporté à des kilomètres de distance de son pâturage habituel. Une patte et le bassin fracturés, il était tombé à genoux et il était mort de froid... dans la saison la plus chaude de l'année. "


Ce même auteur Peter Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et qui a côtoyé les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun ainsi que des savants soviétiques et qui a reçu l'important prix littéraire italien "le Premio Bancaracella" qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes, nous dit aussi dans un autre ouvrage publié également chez A. Michel en 1974 et intitulé "La Planète inconnue": " Plus prudents furent les auteurs de la seconde découverte en 1909 dans la vallée de Bérescova, toujours en Sibérie. Il y a quelques années , le corps d'un troisième mammouth non détérioré revit le jour dans la toundra de la péninsule de Tamir, sur la côte de L'océan Glacial Arctique; soumis à une autopsie, il révéla un détail qui excita l'imagination des journalistes et des écrivains. Dans l'estomac du gigantesque éléphant furent retrouvés intacts les restes de son dernier repas: de l'herbe et des fruits appartenant sans aucun doute à la flore d'une région très fertile. Cette constatation ne pouvait laisser la place qu'à une seule hypothèse : la mort des animaux devait avoir été brutale, déterminée par une catastrophe imprévisible: les Mammouths avaient certainement été enveloppés, tout de suite après leur mort , par un manteau de glace. Comment expliquer autrement leur extraordinaire conservation? "

 

 



17/03/2007
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