Terre Creuse article de Jean Marc - Opération Highjump

Un oasis de vie au milieu des glaces

A cette hypothèse géologique nous devons apporter certains fait troublants à propos de clichés rapportés par les satellites de la NASA.

Bien que ces clichés ne soient pas une preuve, ils s’ajoutent à un article paru dans le "Science et Vie" (n° 510" de Mars 1960) qui confirme que des savants Soviétiques ont découvert en Antarctique un Oasis, dit de "Benguer", libre de toute forme de glace, avec des températures de 25°c qui permettent à la végétation et aux oiseaux de prospérer. Qu’en est-il advenu de ce mini paradis ? Mystère, ni cette revue sérieuse, ni aucune autre n’a plus jamais abordé le sujet. Depuis, les pôles (constitués majoritairements de surfaces militaires) sont interdits de survols et les satellites évitent soigneusement de communiquer des images pôlaires.

Que dire de l'amiral Byrd lorsqu'il a raconter son histoire de terre creuse a ses supérieurs ? Son histoire se rendit au gouvernement et curieusement loin de perdre son emplois , il va participer a une opération d'exploration ou plus militaire.

l’opération Highjump

En 1946, les États-Unis, à l'initiative de l'amiral Richard Evelyn Byrd, organisent la plus importante expédition qui sera jamais envoyée dans l'Antarctique, l’opération Highjump :

4 700 personnes ;
13 bateaux dont un porte-avions ; 25 avions, dont deux hydravions PBY Mariner.

C'est vraiment important comme expédition , pas vrais!

Les plans de la tentative sont d'établir une base américaine sur le Plateau Gelé de Ross près de Little America III, lieu de l'expédition de Byrd entre 1939 et 1941. Une fois Little America IV établie, une "expansion radiale externe d'exploration aérienne" pourra être entreprise par des avions basés sur des navires opérant le long de la côte Antarctique et par d'autres avions partant de la base terrestre de Little America. Bien que non explicitement indiqué dans les ordres du 26 août 1946, un objectif central du projet est la cartographie aérienne de la plus grande partie possible de l'Antartique, en particulier la côte.

De plus, un autre navire est ajouté à la liste de ceux partant au Sud — le nouveau porte-avion Philippine Sea — avec l'amiral Byrd à son bord. Celui-ci doit avoir 6 appareils de transport militaire R4D amarrés sur le pont pour être utilisés depuis la terre à Little America IV. L'amiral Byrd doit amener un R4D à Little America IV et prendre le rôle de commandant scientifique en chef du projet. Avant la fin des opérations, Byrd doit effectuer un vol au-dessus du Pôle Sud. Bien que tout ceci fussent les plans et objectifs établis du projet, le but et l'origine du Projet de Développements de l'Antartique de 1947 étaient plus complexes.

L'Opération Highjump est perçue comme une énorme menace pour les future revendications latino-américaines. Après tout, 13 navires et 4700 hommes semblent bien confirmer le fait que les Etats-Unis ont leur propre plan pour partitionner les énormes portions du continent. L'annonce à la presse officielle de Byrd semble confirmer leur anxiété, Highjump y étant justifée comme une extension de la politique de la Marine des Etats-Unis de développement de la capacité des forces navales à opérer dans n'importe quelles et toutes conditions climatiques. Un objectif déclaré publiquement est de consolider et développer les résultats de l'Expédition de Service Antarctique des Etats-Unis de 1939-1941. A ce moment, les suspicions latines semblent justifiées. L'approbation initiale de l'Opération Highjump est apparemment obtenue lors d'une réunion du Comité des Trois (le Secrétaire d'Etat, le Ministre de la Guerre et le Ministre de la Marine) le 7 août 1946. Un mémorandum préparé pour la réunion indique que la Navy propose d'envoyer une expédition en Antarctique dès 1947. Les objectifs de cette expédition incluent l'entraînement du personnel et le test des matériels, la consolidation et le développement de la souveraineté des Etats-Unis sur les régions Antartiques, la recherche de sites possibles de bases et le développement de la connaissance scientifique en général. L'amiral R. E. Byrd sera désigné comme Officier-en-Charge du projet. Pe commandant de la Force d'Expédition sera le capitaine R. H. Cruzen commandant actuellement l'Opération Nanook, une expédition en Arctique. Une semaine après la réunion, Edward G. Trueblood, sénateur directeur du bureau Latino-Américain du Département d'Etat, envoie un mémorandum au chef du bureau Européen indiquant qu'il n'y a aucune objection à l'Expédition Byrd tant que aucun territoire revendiqué par certains gouvernements latino-américains. Le 22 août, le Secrétaire d'Etat exécutif Dean Acheson donne l'accord de son département à Highjump avec l'indication que au regard des revendications territoriales d'autres gouvernements dans l'Antarctique, il est suggéré que les régions à visiter par l'expédition navale proposée soient discutée informellement entre les Départements d'Etat et de la Navy... Cette discussion est tenue le 25 novembre, seulement une semaine avec le départ des premiers navires. Acheson écrit au Secrétaire de la Navy James Forrestal le 14 Décember et lui fait part de son accord total avec l'avis majoritaire obtenu à la réunion de novembre et que ce gouvernment devrait suivre une politique définie d'exploration et d'utilisation des zones Antarctiques considérées désirables pour être acquises par les Etats-Unis. La position formelle des Etats-Unis étant de ne reconnaître aucune revendication de territoire en Antarctique, du point de vue de ce Département les navires, avions ou le personnel du Projet Naval de Développements Antarctiques de 1947 ne sont pas dépendants de droits ou revendications territoriales préalables d'autres états pour pénétrer et engager des activités de plein droit dans chacune de ces régions ou de procéder à des déclarations symboliques à cet endroit ou sur des territoires nouvellement découverts pour les Etats-Unis. L'amiral Marc Mitscher, commandant en chef de la Flotte Atlantique, est même plus défiant encore dans ses Instructions pour l'Opération Highjump fournies le 15 octobre. Les Objectifs incluent la Consolidation et l'étente de la souveraineté des Etats-Unis sur la région praticable la plus vaste du contient Antarctique. Peut-être les Départements d'Etats et de la Navy souhaitaient des revendictions de territoires supérieures, mais le fait est qu'aucune déclaration formelle ne fut faite pas les hommes de l'Opération Highjump. Celle-ci ne fut pas lancée en précipitation pour les ressources naturelles de l'Antarctique ni pour l'objectif principal d'expansion territoriale. D'après les informations de la conférence de presse de l'amiral Byrd du 12 novembre annonçant l'Opération Highjump, La Navy dément catégoriquement les rapports indiquant que le voyage sera avant tout une étape dans la course à l'uranium. 'Lors de la première discussion concernant cette expédition, l'uranium ne fut même pas mentionné. Dire qu'il s'agit d'une course à l'uranium pour l'énergie atomique n'est pas correct', a déclaré l'amiral Byrd. Cependant, les objectifs de base ne sont pas diplomatiques, scientifiques ou économiques — ils sont militaires. L'Opération Highjump est, et reste à ce jour, la plus grande expédition Antarctique jamais organisée.

Pourquoi les USAs ont-ils accepter de partager , peut être pour maintenir le silence , reste qu'un traité fut signé .
Le Traité sur l'Antarctique est signé le 1er décembre 1959 à Washington par 12 pays (l'Argentine, l'Australie, la Belgique, le Chili, la France, le Japon, la Nouvelle-Zélande, la Norvège, l'Afrique du Sud, l'URSS (actuelle Russie), le Royaume-Uni, l'Irlande du Nord et les États-Unis. À l'heure actuelle, 45 États l'ont ratifié.

Incroyable l'intéret pour une région froide comme l'Antartique .



18/03/2007
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