Correspondances symboliques entre la terre et l'homme dans les différentes traditions

La terre sang minéral

 

(extrait du livre de Jean-Pierre Bayard, Le Monde souterrain, Ed. Flammarion 1961)

 

Avant de débuter l'étude du monde souterrain, il convient de considérer brièvement le mystérieux signe de la Terre. La Terre dans la succession des quatre éléments se situe entre le Feu et l'Air ; Feu, Terre, Air, Eau, et seule elle a un caractère de résistance. Mavéric Génillard en a recherché astrologiquement la succession. Selon une suite naturelle nous avons l'Air, Feu, Eau, Terre, ou en opposant les forces suivant la loi d'équilibre Feu, Air, Eau, Terre, ou en considérant les qualités nous obtenons Air, Eau, Terre Feu, mais si nous envisageons les saisons nous trouvons  Air, Feu, Terre, Eau. Il est donc bien hasardeux de vouloir classer ces éléments les uns par rapport aux autres.

 

Ajoutons dans l'enseignement occulte taoïste et dans la théorie des sceaux de la main (Si-Do-In-Dzou : gestes de l'officiant dans les cérémonies mystiques des sectes Tendaï et Singon), l'auriculaire représente l'élément Terre.


Par l'étude géologique des entrailles de la terre, les forces telluriques –volcaniques ou électromagnétiques – peuvent s'envisager comme l'effet de radiations cosmiques. Ces forces souterraines prennent d'ailleurs le nom de divinités comme Rhéa, Cybèle et Déméter ; et d'après la Théogonie d'Hésiode, le ciel n'est autre qu'Ouranos et la terre Gaea. Cette épouse d'Ouranos se nomme encor Gaia ou Gé mais elle est Tellus pour les Romains, Sémélé chez les Thraces, Tailtin en Irlande. Elle est la grande nourrice du dieu Lugh et au Pérou elle prend le nom de Pachamama ou Mamapacha.


Pour les anciens, ces forces mystérieuses influençaient les actes de leur vie et tous ces phénomènes révélaient la présence d'un dieu. La Phrygie, par la nature même du sol, favorisait cet aspect du culte ; les divinités crétoises étaient souterraines et le culte de Poséidon se liait à la conception du séisme. Montessus de Ballore ne fait que résumer l'opinion généralement admise en écrivant que les conflits des dieux souterrains provoquent les tremblements de terre. La Terre se compare au corps humain.


Les connaissances des anciens étaient beaucoup plus étendues que nous et il semble bien en effet, que ces forces telluriques soient comparables aux forces éthériques et qu'elles reflètent la complexité de nos vaisseaux sanguins. Le Soleil – le cœur – génère le cosmos considéré comme un être vivant. Remarquons, à ce propos, que les prêtres de l'ancienne Egypte connaissaient la circulation du sang mais leur science de l'embaumement nous demeure étrangère ; ils réalisent le vide dans le crâne en évacuant le cerveau et le cervelet par les narines ; ils rinçaient la boîte crânienne et l'imbibaient de saumure sans toucher à l'extérieur de l'être, sans laisser une trace ; ce qui prouve une profonde connaissance de l'anatomie. Le docteur Erasistrate de Julis, dans l'île de Céos, pratiquait des expériences sur le cœur 300 ans avant J.-C. , il affirmait que le sang véhiculait le pneuma, c'est-à-dire l'esprit. Plus tard, des savants se moquèrent de ces théories sans songer à l'élément spirituel et ils pensèrent que le sang transportait de l'air. A la même époque, au IIe siècle après J.-C., Ptolémée plaçait la terre au centre de l'univers tandis que Galien affirmait que le cœur n'était pas à l'origine des pulsations. Est-ce le sang animé qui fait battre le cœur ou est-ce le cœur qui donne le mouvement au sang ? De même par sa position centrale le soleil devient le cœur du monde : « Occupant au-dessus de l'éther le trône du milieu et ayant pu figurer l'orbe éblouissant qui es le cœur du monde, tu remplis tout d'une providence capable de réveiller l'intelligence (Proclus, Hymne au Soleil). Pour Macrobe (Commentaire sur le Songe de Scipion, 1, 20), le Soleil est l' « intelligence du Monde ».

 

Il existe un donc un rapport entre le Cœur, le Soleil, la Sagesse ou l'Intelligence le cœur est le centre vital, mais surtout « le centre principiel de l'être total » ; pour Pline (Histoire naturelle, livre XI, 69), l'Intellect réside dans le cœur. Guénon citre le Chandogya Upanishad ; l'atmâ – l'esprit universel – se fixe dans le cœur. « La Terre a un corps, une âme et un esprit » et le tantrisme affirme que la  çakti est la force universelle. D'après Eliade un prophète indien de la tribu Umatilla refusait de travailler la terre car cela aurait été un péché que de « blesser ou de couper, de déchirer ou de griffer notre mère commune par des travaux agricoles ». Ainsi les pierres peuvent être assimilées aux os de la mère, le sol à ses chairs, les plantes à ses cheveux. D'après M.-M. Davy Sainte Hildegarde établissait  une analogie entre le macrocosme et le microcosme. Dans le corps humain image du cosmos, la tête correspond au feu, la poitrine à l'air, les pieds à l'eau, et « le ventre est l'image de la terre molle et féconde » car nous sommes soumis à l'influence astrologique et à la nature élémentaire du Bélier, Gémeaux, Poissons et Vierge. Isidore de Séville établit le même rapport dans De Natura Rerum (Ch IX.) ainsi qu'Honorius Augustodunensis (Elucidarium I) qui précise la parenté entre l'homme et les éléments : la chair est tirée de la terre, le sang de l'eau, le souffle de l'air et la chaleur du feu. Les Iroquois, et d'autres sociétés analogues, pensent que leurs ancêtres vivaient autrefois sous terre, dans les entrailles telluriques. La Terre figure ainsi le sang minéral de l'esprit universel, et c'est là l'âme de toute chose.

 

On comprend mieux l'étroite parenté qui lie la terre à la femme. La femme, pour Platon, imite la terre ; le gouffre de Delphe représente l'organe générateur féminin qui se dit delphi ; Mircea Eliade a recherché l'étymologie des noms qui apparentent la caverne à la femme. Dans la terre, où croissent les métaux, la mine devient la matrice, la terre le ventre de la mère d'où tout naît et où tout retourne ; cette matière ténébreuse, noire par définition, devient verte par sa végétation ; la Vierge noire symbolise la régénération : « Quand l'homme méditatif regarde la terre, il comprend pourquoi elle est à la fois toujours vierge et toujours mère ; vierge, car elle attend constamment la semence divine ; mère, parce qu'elle enfante successivement de nombreuses récoltes ». Pour Paracelse, le Grand Esprit féconde la terre ; les éléments reçoivent les noms de Sylphes, Salamandres, Gnomes, Ondines selon qu'ils se meuvent dans l'air, le feu, la terre ou l'eau. Pour George Sand, comme pour Buffon, le centre de notre globe est un immense creuset de verrier et « le cristal est miroir mystérieux qui reflète ainsi le drame cosmique de la genèse du monde ». (Note d'Adama : Joseph Smith parle d'un état de cristal pour l'exaltation de la terre…cela rejoint tout à fait les conceptions de Buffon et de Sand !) Bernard Palissy pense que la Terre n'est jamais oisive : ce qui se consomme naturellement en elle, elle le renouvelle et le reforme derechef, si ce n'est en un sort, elle le refait en un autre… ; pareillement le dedans et matrice de la terre se travaille aussi à produire. »

 

Ainsi toute vie s'élabore dans ce monde souterrain. Et si une force magique fait germer la graine, l'homme descendra dans cet œuf primordial, cet œuf philosophique, afin d'être régénérée dans le siège de sa première naissance. C'est retrouver le lieu initial, celui d'avant la chute ; par la digestion d'une force tellurique l'élu trouve la lumière spirituelle. Ce rayonnement obscur sera visible avec la descente aux enfers où, après une sublimation, l'homme acquiert sa qualité d'être initié ; il trouve là le bonheur car il faut se souvenir de la parole que prononce le Bouddha à la fin de sa vie terrestre au profit de son fidèle Ananda : « Ne te laisse pas abuser, Ananda. La vie est une longue agonie, elle n'est que douleur. Et l'enfant a raison de pleurer dès qu'il est né. C'est là la première vérité. » La cabane initiatique, la grotte, le temple, l'enclos sacré où se transforme l'adolescent représentent le ventre maternel ; le candidat se place avant sa naissance biologique dans la nuit cosmique, afin de participer à une seconde naissance.

La terre en tant que matrice se retrouve dans la conception alchimique où les trois couleurs de l'œuvre vont du noir –couleur de la terre et du dieu Osiris – au rouge en passant par le blanc ; mais ce blanc n'est sans doute que la représentation de « l'absence de couleur », cette couleur transparente du Grand Rayon émané, la seule qui soit vraie ; le blanc est la couleur des initiés et le pape s'habille symboliquement en blanc. Ce drapeau français aurait été composé par le maçon Louis David sur le principe de ces trois couleurs alchimiques ; le bleu foncé ou le noir correspond à la bourgeoisie ; le blanc au peuple ou paysans, et le rouge à la royauté. Dom Pernety dans son Dictionnaire Hermétique fait le rapprochement entre la terre et l'œuvre alchimique : « Ce chaos se développant par la volatilisation, cet abîme d'eau laisse voir peu à peu la terre, à mesure que l'humidité se sublime en haut du vase. C'est pourquoi les chimistes hermétiques ont cru pouvoir comparer leur œuvre, ou ce qui s'y passe pendant les opérations, au développement de l'Univers lors de la création ».

 

Cette vie universelle cachée a été représentée par la croix ansée, ce signe hiératique égyptien. Mais la croix gammée que nous retrouvons dans toutes les civilisations et qui orne aussi bien le dolmen que le Tombeau de la Chrétienne a été souvent envisagée comme le symbole de la terre. Ses quatre branches sont orientées aux quatre points cardinaux et Charles Diot établit que les crochets sont dessinés par les radiations verticales des sources.

 

A partir de l'argile rouge – ou adamah – fut formé le premier homme ; Adam, qui signifie aussi rouge, se rattache de cette manière à la tradition atlantéenne, et le rôle du potier a été « le symbole de la production des êtres manifestés ». Stanislas de Guaïta fait remarquer (édition 1915, p. 88) qu'en fait nous avons seulement déduit que l'homme avait été formé par le Seigneur en pétrissant un peu de terre glaise ses doigts que parce que le vocable Adam a formé les composés Adôm (Rouge ou rougi) et Adamah (Terre ou limon). Mais lorsque Adam est conçu il représente une perfection ; il est un terme ; ce n'est que plus tard qu'il est déchu par sa faute. La couleur de la terre peut donc symboliser la puissance sur le plan humain.

 

La caverne se peint en rouge et Léonard de Vinci conserve le même symbolisme. René Guénon s’interroge souvent sur cette valeur de la terre et du ciel, où l’homme universel sert comme un intermédiaire. Selon de nombreuses traditions l’univers est formé de sept terres qui seraient disposées et peuplées hiérarchiquement ; la « terre supérieure » serait notre planète, les six autres des degrés inférieurs. Ce monde implique des notions de temps, d’espaces matériels, de perceptions sensorielles qui sont niées par d’autres traditions qui abolissent en particulier le Temps. Léo Maya trouve dans cette conception le « cycle sabbatique » de sept fois sept ans et au terme duquel, au cinquantième millénaire –le Grand Jubilé-, le monde se réintègre dans le principe divin ; il est bien évident que nous pouvons rapprocher cette construction de l’univers de la valeur des sept Sephiroth ; les quarante-neuf degrés sephirothiques sortent de Binah et y retournent ; Binah est donc à la fois l’unité et le cinquantième degré.

 

Ce chiffre du Jubilé est celui de Moïse, des cinquante interprétations de la loi. Avant d’atteindre ce stade de l’état paradisiaque nous  passerons par bien des tribulations, mais entre ces restaurations provisoires nous aurons peut-être des moments de repos caractérisés par le cycle du Fiat-Lux, le parfait équilibre entre l’esprit et la matière. Cette conception de l’univers avec les sept terres nous entraîne encore à rechercher le grand centre de repos ou nous abordons la connaissance infinie ; pour aboutir au Sabbat cosmique nous ne possédons que trois valeurs : la terre, le ciel et notre présence. La tradition chinoise songe aussi à trois principes créateurs : le ciel, la terre et l’homme. Le ciel figure comme un trait vertical, la terre comme un trait horizontal ; l’homme se trouve à l’intersection de ces deux lignes, au lieu de rencontre de l’esprit et de la matière ; il se situe donc au centre de la croix. Ciel, Homme, Terre, forment les trois pôles de la croix, et conserve, ésotériquement, la même puissance. Même conception dans le Sepher-Yetzira : « il y a trois pères : le feu, l’eau et l’esprit. Le feu est en haut, l’eau est en bas et l’esprit les unit. » L’activité s’abaisse vers la contemplation et pour cette polarité les puissances s’équilibrent. « Le corps », dit le Zohar, est le vêtement de Nephesh ; Nephesh le vêtement de Roûach ; enfin Roûach le vêtement de Neshamah. » Ce sont les trois éléments de l’homme : le corps, l’âme et l’esprit.

 

Cette Grande Triade se rapporte directement à notre sujet ; la Triple Enceinte symbolise ainsi la Jérusalem Céleste, la Cité primordiale. Dans les figures géométriques le carré représente la Terre ; trois carrés inscrits les uns dans les autres, avec un foyer unique, peuvent figurer les trois mondes : Le Monde terrestre, le Monde des firmaments, le Monde céleste et divin où Dieu réside avec ses purs esprits. La croix celtique s’inscrit aussi dans un combiné de trois cercles dont chacun est le triple de l’autre, en rapport avec les nombres 9, 27 et 81. Ces trois cercles de la Vie Universelle sont définis dans les triades bardiques :

 

-         Le cercle de Keugant, cercle vide, où nul Etre ne peut subsister, hormis Dieu lui-même ; ni les vivants ni les morts n’y accèdent, et Dieu seul peut le franchir.

-         Le cercle d’Abred, cercle de la Fatalité, du Destin inéluctable, où chaque nouvel état, chaque existence nouvelle naît de la mort (conditionnée par la précédente). Et celui-là, l’Homme le traverse.

-         Le cercle de Gwenwed, cercle de la Béatitude, le « Monde Blanc » où chaque état dérive et naît de la vie. « Et celui-là, l’Homme le franchira un jour ».

 

Cette triple enceinte, qui donna naissance à d’intéressantes analyses, se trouve dans la littérature hindoue. Le Mandala, qui signifie en sanscrit le cercle, représente le monde divin. Du carré on se dirige vers le foyer, c’est-à-dire de l’extérieur vers l’intérieur. La pensée progresse du pourtour vers le centre qui est réduit en un point où s’identifie le divin. Au cœur se trouve la résidence du dieu sous la montagne cosmique, le Potalaka ou le Meru. Le Musée Guimet possède quelques représentations de ce cheminement vers le Paradis. Dans la mystique hébraïque, la Shekhina est le noyau où trône le Dieu de vie ; et je ne puis qu’évoquer, au Tombeau de la Chrétienne, le dôme qui surplombe une assise carrée. Nous comprenons mieux la pensée d’Isaïe (LXVI, I) « Ainsi, a dit l’Eternel, les cieux sont mon trône et la terre le marchepied de mes pieds » ?  Mais ce marchepied est la pierre fondamentale qui sera définie par Isaïe au chapitre XXVIII, 16.

 

Cette triple enceinte se retrouve dans les graffitis gravés par les Templiers. Charbonneau-Lassay a analysé ces signes ; la figure 3 existe au château de Chinon, la figure 4 dans l’abbaye de Seuilly (Indre-et-Loire) ; d’ailleurs le plan octogonal préoccupe cet ordre. La croix peut traverser les trois carrés comme nous le voyons dans l’ancien donjon rond de Loudun. Mais c’est dans une pierre de l’ancienne mérovingienne ou carolingienne à Ardin (Deux-Sèvres) qu’apparaît mieux le Point Central, demeure de Dieu.

 

La terre est la matière passive, la Prakriti, le support de la manifestation : la terre ou yin montre un aspect négatif. Par contre, le ciel figure le principe, il a un rôle positif et masculin, comme le yang. Le nombre pair reste féminin, le nombre impair masculin. Nous obtenons ainsi les deux pôles de la manifestation ; ce sont les deux phases opposées et complémentaires. Est-ce à dire que nous avons là les deux termes de la dualité ? Non, car il faut étudier cet extraordinaire symbole, le Yi-King ; le yin et le yang sont inséparables car tout se lie dans la nature. L’homme et la femme s’opposent, mais ils aspirent à l’union. Par ce principe androgyne, le ciel et la terre sont deux principes additionnels qui permettent de déceler la lumière dans les ténèbres. Les vieux yang et yin sont les états stables ; les jeunes yang et yin les états de mutation et de transformation. N’oublions jamais que le plus appelle le moins ; la roue doit tourner perpétuellement ; le « déséquilibre permanent » est fait de compensations alternatives ; songeons encore aux cartes du tarot.


L’action du ciel représenté par le nombre 3 sur la Terre, représenté par le nombre 2 donne cinq et six, rapports de la manifestation. Avec ce nombre terrestre, nous trouvons le mystérieux pentagramme, symbole de l’homme régénéré. L’écart est de 72° entre chaque pointe, mais cette étoile flamboyante doit tourner parce que symbole de la toute puissance et qu’en son centre se situe la troisième lettre de l’alphabet hébraïque assimilé à G ; cette puissance du verbe permet la réintégration définitive. Le sceau de Salomon symbolise l’union du ciel et de la terre, et cette étoile à six branches est sur le plan terrestre l’union de la matière et de l’esprit. Ce tracé de l’homme universel éclaire la pensée de saint Thomas d’Aquin, d’Albert le Grand et, parce que dans la vie tout se recoupe, nous pouvons encore songer aux soixante-quatre hexagrammes du Wen-Wang qui apparaissent dans le Yi-King. Nous abordons là le graphisme du verbe.

 

Nous devons rechercher cette union qui est à l’origine des temps ; autrefois Izanagi et Izanami ne sont pas séparés. Euripide sait que le ciel et la terre ne forment qu’un. D’après un mythe fort répandu, le chinois Tuang-Ku sépare le ciel de la terre. Nous comprenons maintenant pourquoi nous pouvons rattacher le système nerveux du néophyte à celui de la terre et du cosmos, à tous ces courants magnétotelluriques qui se propagent suivant des lois que nous  ne connaissons plus. Il faut se placer avant la rupture de l’unité primordiale, dans cette unité cosmique, base de l’harmonie et de la Beauté. La science elle-même retrouve quelques pensées antiques sur l’indivisible matière, mais ce n’est sûrement là encore qu’un balbutiement. Dans cette unité, nous parvenons à retrouver notre réincarnation, car selon la doctrine de Pythagore chaque homme se préexiste à lui-même, mais encore faut-il qu’il puisse être soumis à l’influence des courants telluriques.

 

 

 

 

 

 

 



17/10/2006
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