Un regard sur l'affaire George Adamski
Colossiens 1:26 le mystère caché de tout temps et dans tous les âges, mais révélé maintenant à ses saints,
L’AFFAIRE GEORGE ADAMSKI
Le livre de Desmond Leslie et Georges Adamski Les soucoupes volantes ont atterri, dans la version française des éditions J’ai Lu, collection l’aventure mystérieuse 1971.
Beaucoup d’ufologues affiche du mépris pour cette affaire Adamski. Son expérience qu’il relate lui-même, le premier contact ayant eu lieu le 20 novembre 1952, dans le désert de Mojave, soit voici 50 ans. Un mépris qui était venu de la vue des photos prises par le contacté, qui faisait penser au haut d’un aspirateur des années 60. Pourtant Adamski a bercé la jeunesse de nombreux spécialistes des OVNIs.
20 Novembre 1950, Désert de Mojave USA. (Lob & Gigi)
1°) Adamski n ‘est pas le seul et unique témoin, il y a avec lui Al et Betty Bailley, Lucy Mac Ginnis, le Dr. Georges H. Williamson et son épouse Betty , Alice K. Wells. Les deux couples furent déjà témoin d’observation d’OVNI ailleurs aux Etats-Unis. Je te rappelle que dans l’affaire de Valensole, Maurice Masse est seul témoin, nous n’avons que son unique témoignage et quelques traces au sol. Dans l’affaire du désert de Mojave, il y a 6 témoins dont un ethnologue en la personne de Williamson. Enfin il y a des témoins non officiels dans les pilotes des avions de chasse qui survolèrent sans arrêt la zone du contact (avant et pendant), constaté par tous les témoins présents. Quelque part une base d’aviation doit bien avoir un compte rendu de ces survols… hélas ils doivent être confidentiels défense.
2°) Adamski évoque avec son étrange interlocuteur les affaires d’enlèvements de terrien par des OVNI, à l’époque on se moquait volontiers de ce genre d’assertion, aujourd’hui on ne rit plus…
3°) Adamski parle avec l’entité d’une affaire de crash d’OVNI, idem à l’époque on fait des gorges chaudes de ces affaires, mêmes les ufologues sérieux ne s’y intéressent pas, pourtant 50 ans plus tard, on sait à propos de Roswell que quelque chose s’est bien passé.
B
A = Le contact entre Adamski et une créature d’un autre monde… (Lob & Gigi)
B = Plan en projection « orthographique » de photographié par Adamski.
4°) L’état de stupeur du témoin après son étrange dialogue. Voilà ce qu’en dit Lucy Mac Ginnis :
Quand nous sommes arrivés sur les lieux, George était muet de stupeur et ne pouvait que nous montrer les empreintes de pas sur le sable. Il était dans un tel état d’effervescence qu’il bafouillait. Il était radieux, comme un enfant surexcité, il sautait sur place. Cet état interdit suivi d’une phase euphorique rappelle bien des affaires modernes d’enlèvement.
5°) Le cinquième point qui ma paraît le plus important est la convergence de cas similaires à travers le monde, la première affaire est celle vécue en Angleterre par le petit Stephen Darbishire 13 ans en Février 1954. Il prendra une photo avec un Kodak à soufflet d’un engin identique à celui d’Adamski ! Mieux, en France, le 29 Octobre 1959, Mme Moulet et ses 3 enfants observent à 18h00 à Aubagne (13) au travers des hublots d’un OVNI des êtres qui souriaient identiques à ceux de l’affaire Adamski ! En Amérique latine les cas sont très nombreux d’entités dites « vénusienne ».
Je n’ai pas argumenté sur les fameuses « lucioles » vues dans l’espace et les ceintures de Van Allen décrites par notre supposé voyageur de l’espace avant Gagarine ! car c’est très connu, ces lucioles lumineuses interpellent beaucoup et donnent un cachet d’authenticité indéniable à ce cas. En effet, aucun auteur de science fiction n’avait décrit ce phénomène bien connu des astronautes, il fallait aller dans l’espace pour le savoir…
L’affaire Adamski n’est peut être pas à rejeter avec autant de condescendance, si le personnage était pittoresque, affabulateur quant à sa présentation, il n’était pas astronome, mais travaillait à l’observatoire du Mont Palomar comme vendeur de sandwich. Le fait qu’il est fondé une véritable secte qui lui a survécu, n’empêche que des éléments troublants restent dans ce dossier. Que cela soit l’observation similaire du jeune Darbishire ou encore le fait que des abductions soient déjà cités à l’époque par son étrange interlocuteur. Le dossier mérite d’être réexaminé.
ADAMA